Le business model de l’urgence

Il existe une constante en termes de modèle économique, que ce soit en B2C ou en B2B, c’est que l’urgence paie bien.

Qu’on parle d’interventions après panne, de réparations après sinistre, de détection de fuites ou de négoce de pièces de « casse », les marges sont en général bonnes voire très bonnes.

Prenons l’intervention B2B après panne industrielle, l’arrêt de la production coûte à l’industriel des centaines de milliers voire des millions d’euros. Alors pourquoi aller négocier le bout de gras sur une prestation qui équivaut à une infime partie du coût du problème ? Les marges sont donc très bonnes et personne ne trouve à y redire.

Et comme on le sait, quand il y a de la marge, il y a de la génération de trésorerie. L’écosystème de la crise, de l’urgence et de la panne est donc favorable au LBO.

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